Ce vendredi 15 mai 2020, un épisode inédit d'Affaire conclue était rediffusé sur la chaîne france 2, l'occasion pour les téléspectateurs de revoir une séquence forte en émotions, qui avait déjà beaucoup fait parler d'elle lors de sa première diffusion.
Dans cet épisode inédit d'Affaire conclue, émission de ventes aux enchères qui enregistre de très bonnes audiences, la vente de Nicole avait déclenché bien des surprises !
Alors que Nicole, 69 ans, avait fait un long chemin dans l'espoir de vendre son meuble Napoléon III, elle ne s'attendait pas à une telle offre de la part de Pierre-Jean Chalençon, qui pour rappel est justement un grand fan de cette période historique.
Selon le commissaire-priseur Harold Hessel, ce sublime meuble Napoléon III aurait pu valoir entre 800 et 1000 euros, s'il n'avait pas été en si mauvais état. « C'est un meuble très fatigué », a expliqué ce dernier aux téléspectateurs. À cause de l'apparence dégradée de son meuble, Nicole s'est vue proposer… une offre de rachat de 170 euros seulement !
Seulement 170 euros pour un meuble Napoléon III : arnaque ou offre au juste prix ?
Nicole, venue de loin pour vendre son meuble Napoléon III, espérait rentrer chez elle avec une belle somme d'argent. Or, malheureusement pour la vendeuse, l'offre qui lui a été faite par Pierre-Jean Chalençon, grand adepte d'objets de l'époque Napoléon, est loin d'avoir comblé ses attentes…
L'habitante du Pas-de-Calais, qui espérait parvenir à faire grimper les enchères avec ce meuble authentique, a été particulièrement déçue. Dans la salle des ventes, son bien a été inspecté de fond en comble par tous les acheteurs de l'émission Affaire conclue, dont Pierre-Jean Chalençon.
Ce dernier a d'ailleurs fait une offre pour le moins audacieuse à Nicole : seulement 1 euro symbolique !
« Pardon ?!? », a alors répondu Nicole à Pierre-Jean Chalençon, visiblement choquée. « C'est un euro symbolique, c'est l'euro de l'amour, l'euro de la passion », a alors expliqué l'acheteur, tout sourire.
Voyant Nicole désespérée, Julien Cohen lui a également fait savoir : « Il y en a pour une centaine d'heures » de rénovation. « Il y en a pour entre 2 000 et 2 500 euros », a par la suite précisé Pierre-Jean Chalençon. « Un travail considérable » est nécessaire, « moi je n'y vais pas » a conclu Julien Cohen, tandis que Nicole se décomposait.
Une offre à 1 euro symbolique : Pierre-Jean Chalençon choque les téléspectateurs !
Heureusement pour la vendeuse, son meuble a tout de même suscité quelques enchères bien que les acheteurs n'étaient visiblement pas convaincus de faire une bonne affaire.
Nicole, qui semblait particulièrement déçue par ce retour, s'est une nouvelle fois vue confirmer par Pierre-Jean Chalençon que son meuble demandait un travail de restauration considérable. Selon l'antiquaire, la rénovation du meuble Napoléon III de la vendeuse du nord coûterait même environ 11 fois le prix d'achat !
Alors que Pierre-Jean Chalençon et Caroline Pons ont préféré abandonner les enchères, Bernard Dumeige a finalement obtenu le meuble de Nicole pour 170 euros, après avoir fait quelque peu monter les enchères avec Leticia Blanco.
Nicole, bien que déçue, a fini par accepter l'offre de Bernard Dumeige, cédant alors son meuble Napoléon III pour 170 euros seulement. Une vente qui s'est donc avérée bien décevante pour la vendeuse, tout comme elle l'est bien souvent pour de nombreux autres vendeurs, déçus de la valeur de leurs biens.
En effet, une mésaventure semblable est également arrivée à une certaine étudiante, qui souhaitait alors vendre un Samovar. Les acheteurs ne lui ont proposé que 55 euros, une offre bien décevante pour la jeune femme, qui avait expliqué : « Ça me ferait mal au cœur de le laisser pour ce prix là en sachant qu'on l'a apporté de russie ».
Pierre-Jean Chalençon vit dans un palais : un véritable cauchemar, il est harcelé par le fisc !
Pierre-Jean Chalençon, grand fan des objets de l'époque Napoléon Bonaparte, réside au sein du Palais Vivienne. Une sublime demeure qui se révèle pourtant être un cauchemar à vivre au quotidien, selon le charismatique acheteur d'Affaire conclue.
Dernièrement interviewé à ce sujet par nos confrères de Télé Loisirs, Pierre-Jean Chalençon s'est exclamé : « Je ne reçois aucune aide du ministère de la culture, a-t-il expliqué. J'ai un contrôle fiscal, c'est tout ce que j'ai. Merci l'État ! Il y en a marre. Je me lève à 7h du matin, je me couche à 2h. Je travaille sept jours sur sept, je ne prends pas de vacances. Je n'ai pas d'enfants, je donne tout à la France. (…) Merde ! C'est un cauchemar d'avoir ce genre de palais…»
Réellement épuisé, le collègue de Sophie Davant a également fait savoir, s'adressant alors directement à Emmanuel Macron : « Monsieur le président, il faut absolument que vous nous aidiez. Les paroles, c'est très bien, mais on a besoin d'actions. Aujourd'hui, il y a des dizaines, des centaines de personnes qui ont des manoirs, des châteaux ou des domaines en France, qui ont des propriétés dans Paris, et qui ne peuvent plus s'en sortir, et qui sont malheureusement obligés de vendre ».
Dans ce même reportage, Pierre-Jean Chalençon a expliqué avoir dû faire un important crédit pour acquérir le Palais Vivienne : « J'ai pris un crédit, comme tout le monde. J'avais un appartement que j'ai vendu, rue de Rivoli et j'ai acheté ce lieu il y a quatre ans et demi. Ça a été un coup de foudre, car c'est près de 550m2 dans Paris. C'est quatre ans de travaux, j'ai investi près d'un million d'euros de travaux. »
L'acquisition de ce bien incroyable ne ce serait donc pas fait sans douleur, puisque l'acheteur se dit victime d'un acharnement fiscal. « Si on continue à m'emm**der, parce qu'en ce moment je suis assez harcelé par les pouvoirs, tout ça…, je le vendrai certainement, et j'appellerai Stéphane Plaza », avait également fait savoir Pierre-Jean Chalençon, à l'antenne de Voltage.
Pierre-Jean Chalençon est devenu la star du petit écran et notamment d'Affaire Conclue, vous pouvez donc le retrouver régulièrement dans cette émission. Il n'hésite pas à dépenser des sommes astronomiques lorsqu'il apprécie une oeuvre d'art ou un objet. Il peut alors sortir rapidement les billets de sa poche.