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L’ambiance entre les candidates de Miss France seraient plus que tendue, c’est l’une des confessions d’Iris Mittenaere au sujet du célèbre concours de beauté.
Si le monde des Miss peut sembler attractif, et renvoyer l’image d’un métier fait de tapis rouges et de projecteurs, il semble qu’en coulisses, le parcours d’une Miss France puisse être bien moins agréable. La Miss France 2016, Iris Mittenaere s’est confiée au Parisien, sur ses souvenirs lors de l’élection.
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Un règlement trop strict, et dépassé
Au cours de l’interview, Miss Univers 2016, a été notamment invitée à réagir à l’éviction d’Anaëlle Guimbi de la compétition, quelques heures seulement avant l’élection de Miss Guadeloupe. Raison d’une telle sentence : des images topless de la jeune femme, réalisées dans le cadre d’une campagne pour la lutte contre le cancer.
« J’ai été choquée en apprenant son éviction. Mais contrairement à d’autres Miss, je n’ai pas voulu faire du buzz dessus. J’ai préféré appeler Sylvie Tellier, qui a mis en avant le règlement même si ça part d’une dénonciation mal intentionnée. Si l’élection avait eu lieu, les autres candidates auraient pu faire un recours juridique pour l’annuler. C’est énormément d’argent en jeu. » a-t-elle expliqué.
La jeune femme de 27 ans en a profité pour donner son avis sur le règlement Miss France en général, estimant que des modifications s’imposaient. Selon elle, il faudrait par exemple « supprimer la partie sur les photos dénudées, à condition qu’elles ne soient pas à caractère pornographique ». La question des tatouages ou de la taille minimale, fixée à 1m70, également lui pose problème.
En 2020, Iris Mittenaere souligne enfin le sujet des femmes transgenres, qu’elle considère comme injustement écartées de la compétition. Un sujet sur lequel Sylvie Tellier s’est exprimée elle aussi. A ses yeux, les Français ne seraient pas prêts à élire une Miss transgenre. Toutefois, la directrice de l’élection ne se dit pas opposée à de telles candidatures.
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Une compétition malsaine entre les jeunes candidates
Une interview au Parisien, qui a également donné l’occasion à Iris Mittenaere d’évoquer l’ambiance tendue en coulisses entre les prétendantes au titre de Miss France.
Selon l’ex-miss Univers, l’atmosphère serait plus que déstabilisante : « Les prétendantes sont prêtes à tout, c’est parfois l’enfer en coulisses. Même à mon époque, Sylvie a reçu des courriers disant que j’avais des faux seins, un faux nez » révèle-t-elle.
Des propos qui viennent souligner ceux de Clémence Botino, Miss France 2020. La jeune femme évoquait déjà des profils de jeunes femmes insultantes parmi les candidates. Sylvie Tellier elle-même, avait qualifié ces candidates de « pestes », et reconnu une concurrence malsaine au sein des troupes.
Le voyage de préparation à Tahiti semblait avoir été le théâtre de nombreuses petites vacheries entre les jeunes femmes. Une « mauvaise camaraderie » avait été largement pointée du doigt dans la presse.
Le nom de la jeune Miss Pas-de-Calais en particulier, Florentine Somers, était revenu plusieurs fois sur le tapis, comme l’une des responsables de telles tensions au sein du groupe.
Une jeune femme qui en conséquence n’avait pas été sélectionnée parmi les 15 finalistes, l’année dernière, en dépit de sa large validation auprès des internautes.
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