Consulter Masquer le sommaire
Si la candidature de Donald Trump aux élections présidentielles ressemblait d'abord à une vaste plaisanterie – beaucoup pense que c'était d'ailleurs le cas au début -, son élection est pourtant bien réelle. Bien que massivement critiqué par la quasi-totalité des célébrités qui appelaient à voter pour sa concurrente, la démocrate Hillary Clinton, le milliardaire s'est finalement assis sur la chaise la plus importante du pays.
Mais l'homme d'affaire et présentateur de télévision n'aurait surement pas réussi son entreprise sans la présence de Mélania Trump, sa femme, et Ivanka Trump, sa fille.
Donald Trump : misogyne mais pourtant redevable des femmes
Donald Trump s'est très vite mis en scène comme une caricature républicaine : xénophobe, raciste, misogyne, il cochait toutes les cases pour satisfaire au mieux cette partie conservatrice des États-Unis, celle dont les femmes ne trouvent aucunement choquant qu'il parle d'elles comme de simples objets sexuels.
Certains journalistes ont tenté de mettre le candidat face à ses propres propos pour le faire réagir, à l'image de Megyn Kelly, pour Fox News (chaîne qui supporte pourtant le Président) qui lors d'un débat télévisé, a souhaité le confronter à ses prises de parole misogynes.
Pourtant, si Donald Trump a réussi contre toute attente à devenir Président de la République, c'est sans doute grâce à sa fille et sa femme, qui sont parvenues à modérer son discours pour convaincre les plus sceptiques.
Melanie Trump : une alliée discrète mais fait parler
Ce n'est un secret pour personne, Melania Trump ne souhaitait pas devenir Première Femme. Elle a cependant soutenu dans l'ombre son mari – sans doute persuadée que ses chances d'accéder au pouvoir étaient de toute manière minimes.
Mais Donald Trump lui a rapidement demandé d'intervenir par des discours, pour afficher publiquement son soutien. La campagne a été menée d'une main de maître par sa femme qui, si elle s'est faite critiquée pour avoir plagié les discours de Michelle Obama, a reçu des éloges pour sa prestance, et ses prises de position moins extrêmes que son mari.
Or, depuis qu'elle loge à la maison blanche, de drôles de rumeurs courent à son sujet, notamment une qui a donné lieu au hashtag viral Free Melania. Les citoyens américains (et du monde entier) sont persuadés qu'elle n'est pas heureuse, et des vidéos la montrent forcée de sourire à son mari avant de laisser s'évanouir son sourire lorsqu'il ne la regarde plus ont fait le tour du monde.
Melania et Ivanka Trump : les surnoms qu'elles se donnent
La relation entre la femme de Donald Trump et sa fille sont relativement glaciales. Si elles se sont trouvées un point commun en supportant le Président, on ne leur prête aucune complicité. Et aujourd'hui, nous découvrons comment elles s'appellent l'une l'autre.
C'est l'auteur Mary Jordan qui révèle cette petite indiscrétion dans The Art of Her Deal. On y apprend qu'Ivanka Trump appelle sa belle-mère « le portrait« . Pas de quoi crier à l'insulte au premier abord. Mais si elle l'appelle comme ça, c'est pour souligner le fait qu'elle est certes présente, mais que sa parole n'a aucun intérêt puisqu'elle ne l'a pas prend pratiquement jamais. C'est une manière pour elle de se moquer de ses rares discours.
Mais ne croyez pas pour autant que Melania Trump se laisse faire puisqu'elle a également trouvé un surnom à sa belle-fille. D'après Mary Jordan, elle appelle celle-ci « la princesse« . En effet, la fille de Donald Trump se serait octroyée quelques droits dès qu'elle est arrivée à la Maison Blanche et Melania n'aurait pas tardé à lui faire savoir ce qu'elle en pensait.
La décision d'Ivanka annulée par Melania
Lorsque Donald Trump a pris possession de la Maison Blanche, il a du se passer de sa femme qui a préféré rester quelque temps avec son fils à New York, chez eux, dans la Trump Tower. Mais il pouvait compter sur le soutien de sa fille, conseillère de son père.
Celle-ci a souhaité renommer le bureau de la Première Dame en « Bureau de famille« . Une manière pour elle de minimiser l'importance de sa belle-mère tout en maximisant la sienne. Mais lorsqu'elle est arrivée définitivement à Washington, la première dame a mis un terme à ce qu'elle considérait être une mascarade et a vite fait savoir son point de vue. Cela donne une idée des relations entre les deux femmes depuis.